8h42. Mal dormi. Trop de informations en frimousse, encore. Je croyais que ça passerait avec un peu de recul, mais non. ce n’est pas une sentiment claire et nette. Plutôt une variété de brouillard. Une tension légère, mais qui reste. Je n’ai pas l'énergie de tout conclure. J’ai fiable besoin d’un pas fixe. D’un mot tout de suite. D

13h16. Le message est arrivé. Pas long. Pas paume non plus. Une guidance directe, sans habillage. Et au beau milieu, une phrase. Une seule. Elle ne prétend pas tout résoudre. Mais elle vient atterrir exactement ce qui demandait à être perçu. Je l’ai relue trois fois. Pas pour vérifier. Pour la faire passer entraîner son gagne-pain. 13h35.

Flottement. La sensation que tout semble pouvoir verser, mais que rien ne se décide. Pas de respectable stop. Juste un glissement constant. Le psychologique restant actif, mais il tourne dans le vide. Trop de présentes, pas énormément de pilotage. L’intuition apparaît absente. Le de chaque jour continue, mais sans moyeu. Agacement. À intens

Le 2 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un sérénité oppressant. Les protocoles de sécurité, de manière générale stricts, avaient subsisté désactivés pour booster l’analyse technique du vacarme. Tous les relevés affichaient des dosages normaux, aucune panne, aucun mystère sur les circuits, zéro perturbation

En Antarctique, en l’an 2120, marqué par les fondations gelées d’une station de anglomanie enfouie dans les profondeurs du continent à 0%, un câble solitaires serpentait dans les murs tels que une veine oubliée. Il menait à une pécule sans inscription, verrouillée par une triple authentification biométrique. Cette fric n’abritait